Qu'est ce que la neurothérapie

heloise georges

Approche

de la neurothérapie

de la neurothérapie

La théorie du cerveau triunique représente trois cerveaux distincts apparus successivement au cours de l’évolution de l’espèce humaine : un cerveau reptilien, puis un cerveau paléomammalien (apparenté au cerveau limbique) et enfin un cerveau néomammalien (apparenté au néocortex).
Cette vision de l’organisation neuroanatomique est un outil théorique, permettant de modéliser l’architecture fonctionnelle du cerveau et l’organisation générale de ses principales aires. 

Le tronc cérébral ou cerveau reptilien reçoit les informations corporelles. Ce sont les sens qui captent l’environnement. 

L’inconscient est associé au cerveau reptilien, siège des programmes de survie de l’espèce.

Ensuite le cerveau limbique ou mammifère est considéré comme étant le cerveau émotionnel, il donne une valeur positive ou négative aux perceptions du corps.
Le subconscient est l’inconscient acquis, à l’étage limbique, accessible à la ré-information.

Enfin, le néocortex détient toute la capacité cognitive de l’être humain. C’est lui qui analyse et prends des décisions relatives aux stratégies de survie et retourne les commandes d’adaptation via le système nerveux autonome.

Une autre façon, toute aussi théorique, de modéliser l’architecture du cerveau est de donner des fonctions précises à chacun des hémisphères cérébraux.
Les hémisphères cérébraux sont les parties droite et gauche du cerveau. Ce sont deux structures quasi symétriques qui sont reliées entre elles par des fibres nerveuses que sont le corps calleux et les commissures. 

Ces deux modélisations théoriques sont des outils qui permettent l’étude et la communication.

Le TRAUMATISME

Le tronc cérébral est associé au cerveau reptilien. 
Le thalamus est la chambre de tri des informations issues du tronc cérébral. 
Le cortex préfrontal est le siège de la prise de décision et de la mémoire à court terme.
Il intervient dans le processus de mise en mémoire. Il faut porter son attention sur un événement pour le mémoriser et permettre son encodage par l’hippocampe.
L’amygdale cérébrale décode les stimuli menaçants pour l’organisme. C’est le siège de la structure émotionnelle du cerveau limbique. Elle contrôle la mémoire émotionnelle et l’expression des réponses émotionnelles.
L’hippocampe est la structure du cerveau limbique qui traite et encode les informations dans la mémoire à long terme.

 Que se passe-t-il lors d’un événement traumatique ?

 

  • Le tronc cérébral envoie les informations acquises par les 5 sens au thalamus qui les dirige vers l’amygdale cérébrale.  

  •  L’amygdale cérébrale commande aux glandes surrénales la production d’adrénaline et de cortisol pour préparer l’organisme à lutter ou fuir. La peur de mourir va empêcher la victime de lutter ou fuir et la place dans un état de sidération. 

  •  L’amygdale cérébrale continue à générer la production d’adrénaline et de cortisol et surchauffe.  

  •  Le cerveau va alors envoyer de la kétamine et de la morphine pour isoler l’amygdale et inhiber le cortex préfrontal.  

  •  La déconnexion du cortex préfrontal va initier une dissociation de la scène traumatique et de la souffrance. 

  •  La scène traumatique non traitée reste figée dans l’amygdale cérébrale, en l’état, avec les informations enregistrées par les 5 sens et toute la charge émotionnelle qu’elle contient, sauf la temporalité et la spatialisation qui sont du domaine du cortex préfrontal.

 

Notes : 

  •  L’espace limbique est une zone intemporelle du cerveau et tant qu’on ne permet pas la réassociation des informations de l’amygdale cérébrale et du cortex préfrontal, la scène n’arrive pas jusqu’à l’hippocampe et ne peut pas entrer dans la mémoire à long terme. 

  •  La suractivité et le stress permanent de l’amygdale va générer hypertension, infarctus, épuisement nerveux et dépression, le cortisol ne jouant plus son rôle de régulation dans la glycémie ainsi que dans le cycle du sommeil. 

  •  D’autre part, le cortisol, qui est toxique, va attaquer l’hippocampe et l’atrophier alors que le rôle de l’hippocampe est d’éteindre l’amygdale lorsque la situation est digérée.

 

Chaque fois qu’une situation dépasse notre capacité d’adaptation émotionnelle, il y a création d’un traumatisme.

 

Le premier rôle de la Neurothérapie est de permettre la réassociation des informations gérées par l’amygdale cérébrale à celles du cortex préfrontal pour une réelle digestion des mémoires traumatiques par l’hippocampe qui peut ensuite les stocker dans la mémoire à long terme, définitivement débarrassées de toutes résonnances émotionnelles.
Dans un deuxième temps, en laissant naturellement le procédé suivre son cours, l’inconscient proposera l’accès à la ré-information des racines sensorielles périnatales à l’origine de la création des scènes traumatiques.

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Notes :

Chaque fois qu’une situation dépasse notre capacité d’adaptation émotionnelle, il y a création d’un traumatisme. A chaque traumatisme, un système complexe de protection se met en place. La compréhension de se système est fondamentale pour envisager une démarche réellement thérapeutique.

Dans un premier temps, la Neurothérapie permet la communication avec la structure de protection, puis la réassociation des informations émotionnelles gérées par l’amygdale cérébrale aux informations temporelles et spaciales détenues par le cortex préfrontal pour une réelle digestion des mémoires traumatiques par l’hippocampe. Ensuite, en laissant naturellement le processus suivre son cours, l’inconscient proposera l’accès à la ré-information les racines sensorielles périnatales à l’origine de la création des scènes traumatiques.

L’hippocampe pourra ensuite les stocker dans la mémoire à long termedéfinitivement débarrassées de toutes résonnances émotionnelles.

La Neurothérapie en détachement émotionnel est une toute nouvelle thérapie brève quantique qui permet le détachement définitif de toute émotion négative vécue au quotidien.

Issue du Détachement des Traumatismes® crée par Martine CLAVELLI, des neurosciences et de la synthèse de mes différentes pratiques (Respiration Psychodynamique®, TIPI, Méthode des 2 points, PNL, Hypnose Générale…), je vous propose aujourd’hui une nouvelle approche de la thérapie, plus puissante et plus rapide.
Nos émotions négatives sont la conséquence directe de nos peurs les plus profondes, créées à partir des expériences physiques douloureuses de notre vécu prénatal et périnatal.
Ces peurs sont l’origine vibratoire de tout ce que nous attirons dans notre vie, ainsi que l’origine de la création de nos traumatismes. Si nous souhaitons changer notre vie, nous devons avant tout guérir la peur.
En partant de l’émotion indésirable, la Neurothérapie autorise l’accès aux racines cognitives et sensorielles des traumatismes refoulés et figés dans l’inconscient.
La mise en synchronisation naturelle des hémisphères cérébraux par le thérapeute permet l’intégration définitive des mémoires traumatiques vécues par le patient. Lorsque la mémoire sensorielle du traumatisme fondamental est conscientisée, acceptée, vécue puis digérée, la source de l’émotion négative a totalement disparu.

 

Domaines d’applications:

 

Chocs traumatiques, accidents de la route, attentats, agressions, violences, abus…
Traumatismes de l’enfance, isolés ou répétitifs…
Difficultés familiales, professionnelles, sociales, affectives, sexuelles…
Addictions et troubles du comportement…
Schémas de vies répétitifs…
Deuils et séparations…
Stress, burn-out, phobies, mal-être…
Peurs par anticipation, interventions chirurgicales, examens, prises de paroles en public, entretiens professionnels…
Accompagnement d’un traitement médical, lorsque la libération des composantes psycho-émotionnelles d’une maladie peut participer au retour à la santé et favoriser un meilleur équilibre…
 
Contre-indications:

 

La Neurathérapie s’adresse exclusivement aux adultes.
Il est contre-indiqué aux femmes enceintes, aux personnes épileptiques, aux personnes atteintes de glaucomes avec taches.

 

Informations pour le patient:

Après une séance, la déprogrammation varie entre quelques jours et un mois, voire plus pour certaines personnes.
L’intégration des changements peut parfois être perturbante. Le patient doit être conscient qu’il entre dans une démarche thérapeutique profonde et qu’il doit prendre sa part de responsabilité dans son processus de libération.
La prise d’antidépresseurs, d’anxiolytiques ou de produits stupéfiants n’autorise pas une libération définitive de l’émotion.
Le port de lentilles de contact est également déconseillé.

 

Comment se pratique la Norothérapie?

Une séance dure généralement entre 2 et 3 heures.
Elle comprend un temps d’échanges et d’investigations suivi d’un temps de détachement actif dans un fauteuil.
Dans le cadre d’une thérapie brève, il est important de pouvoir s’engager sur 3 ou 4 séances, espacées d’un mois environ. En fonction de l’importance des difficultés de chacun, 1 ou 2 séances peuvent être suffisantes, alors que parfois 4 ou 5 sont nécessaires… Pour cette raison, nous fixons systématiquement 3 rendez-vous lors de notre premier entretien téléphonique.

 

Son prix:

Est de 180.- ou euros par séance de 3 heures

APPROCHE QUANTIQUE

La relativité générale est la théorie qui décrit le monde de l’infiniment grand : le mouvement des galaxies, les trous noirs, l’expansion de l’univers, la théorie du big-bang. La mécanique quantique est la théorie qui permet de décrire la matière au niveau microscopique : les atomes, le noyau des atomes et la physique des particules. L’expérience de la double fente de Thomas Young est un des fondements la remise en cause de la physique dite classique au profit de la physique quantique.

Dans la physique classique, la matière est corpusculaire et la lumière est ondulatoire. L’expérience de Young montre que les deux sont à la fois ondulatoires et corpusculaires. Selon le modèle quantique de la réalité, la matière n’est que concentration d’énergie. Dans l’univers, tout est Vibration, Information, Energie. Ondes ou particules ? Quand tu ne regardes pas, il y a des ondes de possibilités (ou paquets d’ondes). Quand tu regardes, il y a des particules d’expériences (effondrement de la fonction d’onde ou réduction des paquets d’ondes en particules d’expériences).

C’est la conscience qui décide de l’état final du système. L’observateur détermine sa réalité. Plus simplement, nos 5 sens interprètent des schémas énergétiques et notre cerveau les projettent dans notre univers personnel sous forme de situations à expérimenter. Chaque fois qu’une situation dépasse notre capacité d’adaptation émotionnelle, il y a création d’un traumatisme, c’est à dire refoulement de l’expérience, donc refoulement du schéma énergétique correspondant à la situation. 

C’est ce schéma énergétique refoulé qui demande sa ré-incorporation en se présentant sous forme de nouvelle expérience potentiellement traumatisante, et cela jusqu’à l’acceptation totale de la charge énergétique, c’est à dire de la charge informationnelle, c’est à dire de la charge émotionnelle et sensorielle que contient l’expérience. Pour que l’information soit intégrée, il est nécessaire que l’expérience soit vécue en pleine conscience.

La pratique de la neurothérapie est basée sur l’acceptation émotionnelle et sensorielle en pleine conscience des schémas d’énergies refoulés, en accord avec la réalité des lois physiques et métaphysiques qui régissent l’univers.

Note :
La notion de champ en physique quantique rejoint la notion de corps subtils et d’aura des traditions spirituelles Orientales. L’expérience thérapeutique démontre que nous portons nos mémoires traumatiques dans un champ mémoriel situé au-delà de notre corps physique et que nos structures neuronales jouent le rôle d’interfaces entre ce champ mémoriel et le champ du cœur, destination finale pour une libération définitive.

En effet, il est fréquent d’observer l’accès et la ré-information par le cerveau de mémoires traumatiques prénatales alors que celui-ci n’était pas encore construit dans sa capacité à mémoriser ces informations. Les revécus de naissances et de pertes de jumeaux dans les toutes premières semaines de gestation sont régulièrement décrits par les patients dans le cadre de la Neurothérapie.

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